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3 avril 2010 6 03 /04 /avril /2010 16:43

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Belle et bonne chasse aux oeufs pour les petits et les grands...

Sous la pluie ou le soleil,

Ici, ce sera pluie... et vent... + grêle,

P'têt ben la neige aussi, vu que l'eau qui tombe du ciel,

Est pas bien chaude

 

100_1692.jpg

 

Et avec l'autorisation exceptionnelle des parents de Lulu...

 

Lulu, Mâme Ciboulette et M. Ciboulette

 

Vous souhaitent de...

 

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 23:13

.... Le clocher tors du Viel-Baugé m'a mis la tête à l'envers.

 

Ce matin, me suis souvenue d'un livre qui traîne dans mes placards sur les malices du terroir de chez nous, écrit par un certain M. Siraudeau...

 

Sur la légende du clocher tors du Viel-Baugé, voici ce qu'il nous conte :

 

"Une corneille qui logeait dans sa tour, rapportait au clocher tout ce qui se disait à l'entour. Elle arriva un beau jour, à tire d'ailes, pour lui annoncer l'approche d'une noce paysanne dont la mariée, assurait la rumeur publique émerveillée, était restée pucelle. N'en croyant pas ses abas-sons, le clocher se pencha pour jouir de ce prodige, et bien avant l'arrivée du cortège qui arriva enfin, salua par un joyeux carillon... Quand la jolie mariée fut entrée dans l'église, le clocher qui tentait de se relever, poussa un grand cri... Et un cri de clocher porte forcément loin et tout le canton trembla et découvrit le drame : le clocher du Viel-Baugé était resté penché... tandis que dans la lande glapissait une sorcière : "Tu t'es penché pour voir comment est faite une belle pucelle : tu resteras ainsi, jusqu' à ce que ta corneille vienne un jour t'annoncer le mariage de la prochaine...."

 

Et depuis, le clocher du Viel-Baugé, toujours penché, attends toujours

 

 

 

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29 mars 2010 1 29 /03 /mars /2010 20:08

Dans quelques jours, les cloches vont s'en aller vers Rome et nous revenir pour le beau jour de Pâques... Qui dit cloches, dit clochers... Et chez nous, les clochers ont une petite fantaisie qui les rend célèbres par delà l'hexagone, jusqu'à parfois exporter cette coqueterie loin des confins de notre Anjou...

 

Chez nous, les clochers ont mauvais caractère et c'est eux qui décident de leur allure finale, quoiqu'en disent les spécialistes en patrimoine et quoiqu'en fassent nos vaillants compagnons du devoir...

 

Chez nous, les clochers sont tors... Ho, bien sûr, sont pas tors partout... Et quand ils sont tors, sont pas tors de la même manière... Ici, par exemple, l'Eglise-de-chez-nous, dédiée à Saint Julien de Brioude, porte fièrement un clocher tors à 1/10ème... Juste ce qu'il faut de tors, pour être remarquée, et admirée, mais point trop n'en faut pour rester de bon goût...

 

L'Eglise de chez nous

 

100_0213.JPG Vue de face

100_0214.JPG Vue de derrière


tors01vieilbauge2.jpg Eglise du Vieil-Baugé par ici 

Eglise du Vieil-Baugé, par là
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Connaissez-vous la légende du clocher tors de Vieil-Baugé ? Dans ce village, courrait le bruit que les jeunes filles qui convolaient en juste noces n'étaient pas aussi pures et chastes que la morale d'alors l'exigeait... Et, bon nombre d'entre elles entraient à l'Eglise pour s'y marier, après avoir, comme on le dit si joliment chez nous... fêter Pâques avant les Rameaux 

Un jour pourtant, se présenta aux portes de l'Eglise de Viel-Baugé, une fiancée parée de toutes les vertus, notamment celle de s'être gardée vierge jusqu'au soir de ses noces...

Les cloches émues tintèrent de tout leur coeur pour en avertir le clocher de l'antique Eglise... Bouleversé, le clocher ne se tint plus de joie et voulu voir de plus près la fiancée vertueuse... Il se pencha, pencha, se tordit le cou un peu, beaucoup.... Et jamais ne put se relever ....

 

 

Pour les curieux, voici le fruit de mes modestes recherches ci-dessous, elles ne sont pas de moi, mais de Mme Wikipédia... Mais je trouve les explications techniques intéressantes, aussi permettez-moi de vous les faire partager


"Le clocher d'une église se compose le plus souvent d'une tour carrée en pierre sur laquelle repose une pyramide coiffée d'une flèche. Un clocher tors ou clocher flammé est un clocher où la flèche est en spirale, souvent couverte d'ardoises.

Origines

Deux hypothèses s'affrontent quant à l'origine de la torsion : Les uns sont les clochers construits tors, pour réaliser une prouesse architecturale. On peut citer en France celui de Mouliherne ou de Fontaine-Guérin, en Anjou, de Treignac en Corrèze ou de Saint-Outrille dans le Cher.
On peut aussi citer celui de la maison des Compagnons du Devoir à Nantes qui est une véritable œuvre d'art, un chef-d'œuvre compagnonnique. Une maquette en explique la construction à l'intérieur du bâtiment. En Allemagne, le toit d’une porte de ville de Duderstadt était déjà tors au XVème siècle, et tourne de droite à gauche.

D'autres le sont devenus au cours du temps, comme au village de Fougeré en Maine et Loire qui a subi quatre tornades reconnues catastrophes naturelles en 40 ans.

Certains architectes comme Viollet-Leduc pensent qu'ils sont devenus hélécoïdaux suite à un mauvais séchage du bois. Il est en effet prouvé que la charpente de certains clochers en vieillissant a bougé.

Le bois travaille presque toujours, son sens de rotation naturel étant de la gauche vers la droite. Dans un clocher, il suffit qu'il y ait une rotation d'un vingtième de degré à la base du poinçon, la pièce centrale et maitresse de la charpente, pour que celle-ci atteigne un huitième de tour (45°) au sommet, entrainant une torsion de l'ensemble de la charpente. Au fur et à mesure des années, avec le renouvellement des toitures, le défaut s'embellit. La torsion du clocher de l'église Notre-Dame à Puiseaux dans le Loiret est due à un mauvais séchage du bois.

Le poids de la couverture, quand il est trop élevé, peut aussi éventuellement faire ployer la base de la structure, provoquant un affaissement de la charpente et la vrille du clocher, c'est le cas de celui de Chesterfield en Angleterre, qui est couvert de plaques de plomb.

De nos jours, c'est une épreuve que l'on fait passer aux apprentis charpentiers des Compagnons du Tour de France, de construire une maquette avec un clocher hélécoïdal.

Principes de construction des clochers octogonaux en bois

Clochers octogonaux 

Nombre de clochers tors qui le sont devenus avec le temps sont octogonaux, c'est-à-dire que leur flèche comporte huit pans. Ce sont des clochers de villes moyennes. En effet, quand une paroisse de cent habitants construit son église, son clocher sera presque toujours à deux ou quatre pentes. C'est une question de prix de revient. D'autre part, quand la paroisse dépasse les 10 000 habitants, on fait appel à des artisans spécialisés dans ce genre de construction.

Constitution

Les clochers octogonaux en bois sont constitués :

  • d'un poinçon, une poutre verticale au centre de la pyramide. C'est la pièce maitresse de l'édifice. C'est sur elle que repose le poids de la charpente.
  • de différentes moises. Une moise est une pièce de bois que l'on retrouve à plusieurs niveaux de la flèche. Elle est fixée entre chaque face de la toiture et le poinçon, et permet ainsi de consolider l'ensemble de la charpente.
  • de croisillons, pièces de bois en forme de croix placés entre deux niveaux de bois, pour empêcher ceux-ci de travailler, de vriller et donc de s'effondrer.

Un croisillon a le maximum d'efficacité lorsque son angle est de 45°. Or dans les clochers octogonaux, les croisillons de la pyramide ont un angle qui peut être supérieur à 45°. Les clochers octogonaux ont donc plus de chance de devenir tors.

Affaissement 

Le clocher repose sur le poinçon, toute la science du charpentier étant de savoir répartir le poids de la couverture sur la maçonnerie ou la tour en pierre qui le supporte.

Le poinçon repose lui sur deux poutres encastrées en croix selon la technique du. Ces deux poutres reposent sur la maçonnerie. Cet encastrement, en ôtant à chacune des deux poutres une partie de leur épaisseur, provoque un point de fragilité.

Celles-ci peuvent donc ployer sous le poids, entrainant l'affaissement de la charpente, et la vrille du clocher car, les côtés étant à présent trop longs pour le poinçon, ils se vrillent pour compenser.

Mais cette vrille ne se produit que lorsque le poids de la couverture est trop élevé. Cela arrive parfois lors d'un remplacement de toiture.

Parfois les couvreurs utilisent des matériaux différents de ceux prévus à l'origine. Cela est vraisemblablement le cas du clocher de Chesterfiel en Angleterre, dont la toiture en mélèze, recouverte de feuilles de plomb, pèse 50 tonnes, la charpente s'est affaissée en tournant."

tors12chester.jpg

Clocher de l'Eglise de Chesterfield

 


 




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26 mars 2010 5 26 /03 /mars /2010 21:20
Ordre : une communauté particulièrement austère 
 Parmi les disciples de St François d'Assise, les Cordeliers étaient implantés au coeur de la ville depuis le XIIIe siècle. Des dissidences s'étaient produites dans l'ordre : un rameau prônant le retour à la rigueur originelle de la règle est appelé en Italie, les Riformati. Il est introduit en France, à Nevers, par Louis de Gonzague en 1592 et installé dans une maison de récollection, d'où son nom français.
 Dans ses " Antiquitez de l'Anjou ", Jean Hiret présente ainsi nos récollets : « Les moines ne portent point de chemise, de souliers, ni de chausses. Ils portent des socques [ sabots de bois ] ou bien vont pieds-nus ».
 Habituellement prédicateurs, les récollets sont aussi aumôniers des régiments.
    
Implantation à Saumur : des protégés d'Henri IV 
 Agissant sur la demande de sa tante, Eléonore de Bourbon, l'abbesse de Fontevraud, et désormais en froid avec Duplessis-Mornay, Henri IV installe les Récollets en même temps à Saumur et à Doué ; ils y viennent primitivement pour soigner les pestiférés.
 Par lettres patentes du 22 janvier 1602, le roi les autorise à s'installer à Saumur. Il intervient encore à deux reprises en leur faveur : le 4 octobre 1604, il interdit aux Cordeliers de poursuivre leur opposition à la venue de leurs frères ennemis ; le 7 janvier 1609, il accorde à la nouvelle communauté une maison qui leur est nécessaire pour achever leur couvent et construire un cloître.
   

 La Confrérie de l'Assomption, siégeant dans l'église de Nantilly, leur abandonne le 26 août 1603 la grande maison dans laquelle elle tenait ses banquets annuels. La ville intervient aussi, fait des donations et construit le premier bâtiment à ses frais. Selon E. Cron, la chapelle est bénite en 1612.

 Ce premier monastère est ravagé en 1655 par un incendie spectaculaire qui fait grand bruit. Le théologien protestant Amyraut s'émeut et demande au financier Hervart de faire un geste. La reine mère accorde alors aux Récollets une aumône de 20 000 livres, payable en quatre annuités. C'est ce couvent reconstruit par l'architecte Gilles Baudouin qu'on voit sur ce plan de la fin du XVIIIe siècle.

 Appartenant aux ordres mendiants, les récollets ne possèdent pas de dépendance extérieure, mais ils ont su s'aménager un couvent très agréable.

 Au prix de d'importants travaux, la colline en amphithéâtre est compartimentée en élégantes terrasses, appartenant aujourd'hui au Jardin des Plantes. Ces travaux étaient exécutés en 1722, année où ils sont évoqués par Pierre Gaillard.

 A l'emplacement de l'entrée actuelle du Jardin des Plantes est implantée une chapelle, que les visiteurs décrivent comme petite et banale ( elle est détruite au début du XIXe siècle ). Les bâtiments conventuels sont en arrière du chevet de la chapelle, disposés autour d'un cloître. Il en subsiste des vestiges de l'aile orientale.. En avant, la place actuelle des Récollets est occupée par un cimetière assez vaste. En 1783, une inspection de vicaire général signale que ce cimetière est partiellement à l'abandon, qu'il sert de pâturage aux chevaux, ânes, vaches et moutons du quartier et qu'il est « souvent le théâtre du libertinage nocturne ». Quelques pierres tombales en provenant sont fixées dans l'escalier du fond du Jardin des Plantes. L'une est datée de 1775.

 

 

 

Maison du Père Gardien des Récollets ( ensuite, station viticole )

 

 Le supérieur du couvent, le Père Gardien dans la terminologie des Franciscains, habite dans une maison à part, juchée sur une petite terrasse. Celle-ci est reconstruite en 1758 dans un style anguleux et vivant, qui est un bon exemple du rococo local. Autre particularité : ses soubassements sont en falun de Doué, alors que bientôt, avec la construction du pont Cessart, ils seront habituellement en pierre de Champigny.

Cheminée rocaille dans le logis du Père gardien

 

Le logis du Père gardien a ensuite été utilisé par la station viticole. De ses dispositions intérieures, il ne subsiste guère qu'une cheminée rocaille remontant vraisemblablement à la construction du bâtiment.

Ce week-end, comme tous les week-ends des Rameaux, ce sera fête à Saumur... Ce sera la fête des Récollets... Les forains sont arrivés cette semaine et petit à petit ont pris place autour de l'Eglise de Notre Dame de Nantilly et le long de l'ancienne voie de chemin de fer aujourd'hui disparue... Comme tous les ans, les manèges anciens le disputeront aux attractions dernière génération...

Ce sera donc la fête, comme aux temps anciens où l'on fêtait Notre-Dame dans cette église qui lui était dédiée...

Combien de saumurois savent-ils à qui ils doivent de faire la fête ce week-end là ? Combien d'entre eux savent qui étaient ces Récollets qui ont laissé leur nom à une école, à une place, à une rue ?

Et d'où vient également cette tradition qu'à chaque fête des Récollets, il fasse un temps épouvantable... Aussi loin que l'on remonte, il fait toujours un temps, gris, pluvieux et froid...

Cette année, la tradition ne faillira pas : il pleut et il vente depuis hier sans presque discontinuer... A vous décourager de mettre un forain dehors... Et pourtant, tous les ans, ils persistent...

Et tous les ans, il pleut, il mouille, c'est presque la fête à la grenouille


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23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 20:49
.... Depuis dimanche dernier, les français (moins moi) ont décidé que la couleur à la mode des régionales des 6 prochaines années serait le rose. Je sais pas s'ils ont raison, mais le rose c'est gai, c'est frais, ça donne bonne mine, c'est toujours ça de pris... Et comme on peut pas dire que le bleu nous ait porté bonheur depuis 2007, on peut pas leur en vouloir d'avoir voulu changer de nuance ,

Zavez remarqué ? La politique, c'est comme la vie : un coup de blues ?   On change la déco : deux pots de peinture plus tard, le canapé à la place du fauteuil, le fauteuil à la place de la table... et l'appart qu'on supportait plus, nous paraît tout de suite plus sympathique...

Ben, la politique c'est pareil : se ressemblent tous, mentent tous et tout pareil... mais selon la couleur  choisie le jour du solstice du printemps (le changement de couleur politique, c'est toujours au printemps que ça se passe, jamais avant, rarement après)... ben, ça les rend supportables quelques mois.... enfin quelques semaines.... bon quelques jours.... J'en conviens, c'est pas beaucoup, mais avec la crise on peut pas demander plus

Mais depuis dimanche, tout le monde voit pas la vie en rose : ç'aurait été trop beau.... François, par exemple, a pas aimé du tout, du tout, du tout... Dimanche soir,  s'est présenté sa tête de premier de la classe sous le bras, la larme à l'oeil, jurant "qu'il assumait l'entière responsabilité du désastre"... ça nous a vaguement rappelé quelqu'un....

Dès lundi, François fonce chez Nico Ier  lui annoncer que dans la journée de dimanche, tous les bleus de chez eux ont  chopé la collique électorale pour cause "d'ouvertures" à gauche intempestives, et qu'il  est urgent de revenir "aux principes fondamentaux" en fermant fissa portes et fenêtres, et surtout, surtout, en évitant tout apport étranger et non homologué 

Nico Ier convient qu'à force de laisser les portes ouvertes, il va finir par les recevoir sur la gu.... et demande à François, la fée du logis matignognaise, de remettre un peu d'ordre dans la barraque... Deux coups de balai par çi, deux coups de balai par là, un coup de bleu par çi, un coup de bleu par là, et mardi matin, c'est comme si rien ne s'était passé : tout le monde est bien rangé pour le conseil des sinistres de demain matin

Enfin, quand je dis tout le monde.... C'est p'têt un peu vite dit... Parce quoi qui vont en faire de  ceusses qu'étaient-roses-et-verts-avant-et-bleus-après-et-qui-savent-pas-encore-quelle-couleur-zauront-après-après


PS : Xynthia vous fait dire que vous perdez rien pour attendre

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21 mars 2010 7 21 /03 /mars /2010 17:28
... Ben non, j'y suis pas allée... Ni au premier, ni au second... J'ai pas pu, pas voulu, sais pas trop...

Pourtant, l'est pas loin la mairie-de-chez-moi... Même que ce matin, pour cause de rangement-ménage-tri-etc-etc, je suis tombée de mon lit...


J'aurais pu vous raconter des carabistouilles... Vous dire que forte de vos encouragements, je m'étais trottée dès potron minet vers l'urne qui m'attendait... ben non, j'préfère vous dire la vérité tout' nue... même si elle est pas belle...

J'entends déjà les commentaires "vouiiiiiiiiiii, c'est une honte pour les jeunes générations... surtout pour une femme... toutes celles qui se sont battues pour le droit de vote... les malheureuses qui  l'ont pas encore et qui l'auront jamais..."

Je sais, je sais, zavez raison...

En plus, j'ai même pas regardé les affiches pour savoir QUI, ni même ouvert les enveloppes pour savoir QUOI....

M'en fiche... Et puis, yavait aucune couleur qui m'allait... Ni le rose, ni le bleu, ni le vert, ni le rouge...

P'têt le blanc... C'est bien le blanc... C'est chic... C'est sobre... ça va avec tout... Oui, p'têt le blanc... Mais j'suis sûre qu'à la mairie-de-chez-moi, zavaient rien en blanc...

Qui sait... P'têt qu'un jour, au fond des urnes d'ici, d'ailleurs et de partout, yaura que du blanc, rien que blanc, seulement du blanc...

vote-blanc.jpg


Edit 21 h 17 :

C'est quoi ce truc débile bleu qui saute sur overblog quand je veux accéder à mon blog ???? Sonyblue : HORS DE MA VUE, tu me les brises menus, et c'est pas le moment... EN PLUS !!!!

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 22:42
En ce moment... Lulu... Paperasses... Rangements.... Premiers travaux printaniers dehors... Tri et re-tri...

La fin de la semaine devrait être plus calme,

J'hésite entre demander au temps de filer plus vite, ou bien, le prier de suspendre son vol...

Le temps se radoucit, les jours rallongent petit à petit...

Dimanche, on a oublié d'aller voter... C'est dire, qu'on s'est senti concerné... En plus, on l' a même pas fait exprès....

On avait pourtant dit qu'on irait.... D'une chose à l'autre.... Et c'est à 20 h 00, qu'on s'est rendu compte qu'on avait pas fait notre devoir de citoyen...

Depuis..... pfffffffffff.... tout ça.... c'est la seconde échéance électorale qu'on manque à l'insu de notre plein gré...

Faudrait pas qu'on y prenne goût

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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 20:25
Mâme Ciboulette aurait jamais cru être la mère d'un si vieil enfant

Il y a quelques temps, Mâme Ciboulette s'est mise en colère contre les gestionnaires qui gèrent rien du tout ou pas grand chose de l'agence immobilière auprès de qui M. et Mâme Ciboulette louent le coquet studio de Cibou Jr

Zont la fâcheuse manie de "perdre" des chèques et "d'oublier" des virements pourtant débités tant les uns que les autres, et bien sûr, "d'omettre" la déduction de l'allocation logement dont nous les avons faits bénéficiaires....

Samedi, Mâme Ciboulette a pas supporté de voir Cibou Jr contrarié par un "avis" dit d'échéance qui ressemblait à rien, et qui de toutes façons, ne correspondait nullement à la réalité de la situation comptable...

Dimanche après-midi, Mâme Ciboulette a pondu un mail de derrière les fagots à la gestionnaire pas dégourdie, lui rappellant TOUT ce qui avait déjà été payé et encaissé, même que Mâme Ciboulette, grâce à sa police secrète a réussi à récupérer les coordonnées des propriétaires du sweet home de Cibou Jr histoire de les mettre au parfum, et même que Mâme Ciboulette, l'en a ras le bol de se faire appelé Jean-Bon ou Jambon (au choix...), et que Mâme Ciboulette, elle va de ce pas aller chouiner à la Répression des Fraudes où sévissent des siens zamis, histoire de lui apprendre la vie...

ça, c'était dimanche à 16 h 15....

Hier, à 9 h 15, Mâme Ciboulette reçoit un mail de la gestionnaire étourdie, laquelle lui jure ses grands dieux, que jamais ô grand jamais, elle ne s'était rendue compte AVANT de tant de bévues désagréables, et que bien sûr, c'est pas la peine de s'énerver, "pour si peu", dès demain, Mâme Ciboulette va recevoir un extrait de situation tout neuf avec tout bien écrit, déduit, compté, tout comme il faut

Bon.

Aujourd'hui, Mâme Ciboulette reçoit l'extrait de situation de Cibou Jr... En effet, l'est tout au goût de Mâme Ciboulette et de ses comptes

Sauf que....

Jusqu'à hier, Mâme Ciboulette savait pas qu'elle était la si jeune mère d'un si vieux garçon....

Sur l'extrait de situation de Cibou Jr, l'est marqué que Cibou Jr, l'est locataire dans le Poitou depuis.... le 01er juillet 1901 et qu'il est prévu de le rester jusqu'au .... 01er juillet... 2099....

Si, si... depuis le  01er juillet 1901.... jusqu'au 01er juillet 2099... 

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14 mars 2010 7 14 /03 /mars /2010 16:42
.... Une fois remis de nos émotions,  on décide de prendre quelques heures de repos... De toutes façons, c'est pas en restant debout que ça fera déguerpir plus vite Xynhtia la S***** et que Mme Lumière nous reviendra....

Tu parles Charles.... A peine couchés... Xynthia décide d'en remettre un couche et nous casse les oreilles jusqu'aux environs de 7 h 00... Entre temps, on reçoit un texto de Nénette nous avisant de leur retour mouvementé en leur sweet home, après avoir été longuement déviés du centre ville par toutes les forces de police de chez eux... Soit en comptant large, une dizaine de pandores frigorifiés et trempés...

... Plus la peine d'essayer de trouver un sommeil qui ne viendra plus, à 8 h nous sommes debouts, trop impatients de mesurer l'étendue des dégâts, de préserver ce qui peut encore l'être et de dégager ce qui peut représenter un danger...

D'un commun accord avec nous mêmes, nous amorçons la première phase de notre lever quotidien : attraper la télécommande de nos lits et remettre nos sommiers et matelas en position parfaitement horizontales... sauf qu'à compter de cet instant précis, sommiers et matelas resteront en position relevée... ce qui va présenter quelques difficultés  pour refaire quotidiennement des lits aux matelas courbés en leur milieu

2nde erreur : au prochain avis de tempête, penser à dormir dans des lits parfaitement horizontaux

La matinée ne fait que commencer... Après avoir laissé nos lits tels que, M. Ciboulette décide qu'un bon café nous mettra de bonne humeur... J'approuve.... 5 minutes après, M. Ciboulette est sur le seuil de la salle de bain, l'oeil noir et le regard farouche, dans une main le pot en verre de la cafetière .... électrique... de l'autre, le machin où on met le filtre...

"Quoi qui va pas ?" que je demande en regardant les deux mains de M. Ciboulette .... " Ya qu'à faire chauffer l'eau dans la casserole et la verser dans le machin" que je propose...

"C'est pas possible" me répond M. Ciboulette démoralisé "le pot en verre, l'a un couvercle.... et le machin ou on met le filtre, il a un truc qui appuie sur le couvercle pour que ça coule... On est pas rendus..."

"Et si tu tiens et que t'appuies... ?" que je re-propose

... Il est 8 h 30... 3/4 d'heure après, grâce à nos 4 mains... une qui tient le pot en verre, l'autre qui tient le machin où qu'on met le filtre, la 3ème à moi qui tient aussi le machin où qu'on met le filtre (deux précautions valent mieux qu'une...), la 4ème à moi qui tient la queue de la casserole et qui verse...

3ème erreur : penser à se pourvoir avant la prochaine tempête du siècle semestrielle d'une cafetière à gaz

3/4 d'heure après donc, nous savourons un café convenable et chaud, tandis que trois maisons plus loin... de malheureux copains adeptes du tout-électrique en sont réduits à faire chauffer un peu d'eau... au-dessus des braises de leur cheminée...

Zont bien essayé de venir se réconforter chez nous.... Zont sonné... Rien... Zont téléphoné... Rien... Zont textoté... Rien....

Nous sommes dimanche 28 février, il est 9 h 30 et on a pas finit de rigoler 

.... A suivre...

 
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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 11:56
... Il est 4 h 00 du matin, et il règne une ambiance terrible tant dehors que dedans, si Xynthia continue à souffler ainsi, sûr qu'on sera sourds avant le lever du jour...

C'est à cet instant précis... que des grands coups sont frappés à notre porte.. C'est pas possible ! Xynthia a quand même pas pu virer toute seule, un portail d'une tonne d'acier massif, de 4 mètres de large et de 2 mètres de haut ! Même qu'en plus, c'est un portail automatisé, qu' à l'heure qu'il est, l'est irrémadialement et définitivement bloqué, et même qu'en plus, ledit portail, est farouchement encadré de part et d'autre, d'une haie de 2 mètres de haut, de piquants et redoutables piracanthas !

La tonnelle, les bambous, la table et la cabane des voisins : d'accord, mais le portail-des-Cibou : NIET ! Le temps de le penser, de se le dire pour s'en persuader.... les coups sur la porte redoublent... et une voix nous parvient... C'est pas possible, Jésus, Marie, Joseph ! Et en plus de venter, de tout casser, elle cogne... et elle cause !

"C'est moiiiiiiiiiiiii.... ouuuuuuuuuuuuuuuuvrez p**** de b**** de m**** " crie la voix caverneuse et aimable...

"Qui c'essssssssssssssssst ???" qu'on crie de derrière la porte et dans le noir le plus complet... (toute ressemblance avec un stchetch très connu n'est vraiment qu'un pur hasard),

"MOIIIIIIIIIIIIIIIII CIBOUUUUUUUUUUUUUUU JRRRRRRRRRR !!!" tempête (c'est le cas de le dire), la chair de notre chair !

Je tombe sur mon canapé, secouée de spasmes nerveux, persuadée que la prunelle de mes yeux est arrivé à pieds du diable Vauvert, après avoir été chassé par Xynthia la S***** du refuge où il était sensé se trouver jusqu'à .... plus tard ce dimanche....

"Bim-Bling-Boum"/"Meeeeeeeee**** " se répondent en choeur la suspension de pensées ravagées (oups... on l'avait oubliée celle-là...) et la tête de Cibou Jr, lorsqu'ils se rencontrent... tandis que M. Ciboulette, cherche ces p***** de clés-enlevées-de-la-porte- pisque-Cibou Jr-était-sensé-rentrer-avec-les-siennes-mais-qui-sont-restées-dans-le-Poitou (vous suivez ?)...

.... J'avance les deux bras tendus telle une somnambule vers la porte en hurlant des mots d'amour  : "Fais l'tour.... j'ouvre la porte du cellier... on trouve pas les clés... fais gaffe à pas te casser la gu... sur les bambous... la tonnelle... la cabane... la table... (ne rien rayer)"...

... Nous suivons la progression de Cibou Jr, grâce à sa forte voix et ses jurons variés et choisis.... Pendant qu'il progresse vers l'arrière de la maison, nous faisons de même vers le cellier... Enfin, nous voilà tous les trois rendus :  entrouverte par M. Ciboulette, la porte est largement ouverte par Xynthia qui passait par là, propulsant dans nos bras affectueux Cibou Jr trempé et égratigné....

"Pourquoi t'es pas resté chez Tartemolle ???" reproche M. Ciboulette à Cibou Jr qui grelotte... "T'es pas bien d'avoir pris la route de c'temps ???" que je couine à mon tour...

"Ben, et vous ???? que j'arrêtais pas de téléphoner, que ça répondait pas, que je me suis imaginé que le maison s'était envolée, que j'ai roulé comme j'ai pu au milieu des branches qui tombaient, que Mam'zelle Clio elle faisait des embardées que j'ai pas aimées, que je voyais les fils électriques qui faisaient des éclairs ... que j'ai du laissé Mam'zelle Clio tout' seule sur le trottoir... que j'ai du sauté le mur  pour rentrer ... que je me suis n**** les bras avec vos arbres de m****... Alors ??? pourquoi que vous zavez pas décroché hein pourquoi ???..." demande Cibou Jr furibard

"Ben... pourtant... on a pas bougé... (ça risquait pas...).... " qu'on proteste.... "Meeeeeeeeeeeeeeercrediiiiiiiii.... ça commence !!!" gu.... M. Ciboulette

"Quoi donc qui commence ???" qu'on geint Cibou Jr et moi

"Ben ya plus d'électricité !!!" nous répond M. Ciboulette effondré

"Et alors ????" qu'on s'interroge Cibou Jr et moi...

"Comment ça et alors ??? ben, si ya plus d'électricité... ya plus de téléphone non plus..." nous annonce M. Ciboulette en soulevant le combiné du téléphone devenu sourd et muet....

"Merrrrrrrrrrrrrrrrrrrcrediiiiiiii !!! " hululle Cibou Jr "Et j'ai presque plus de batterie à mon portable...."

C'est là, que je prends conscience de ma premère erreur en matière de tempête : j'ai pas pensé à recharger ma propre batterie de portable... laquelle n'est chargée qu'à moitié.... m'est avis que je vais regretter mon erreur dans pas longtemps... M'est avis également, que je vais pas tarder à en regretter quelques autres zaussi... d'erreurs...

... A suivre...
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