... Dans la rubrique "on arrête pas le progrès", nos amis japonais sont passés maîtres en la matière.

Soucieux de plastique féminine, le Docteur  Hideto Tomabechi aurait mis au point une sonnerie de téléphone portable, laquelle permettrait à son écoute, de décupler les "les lolos des nanas"

Comment un tel prodige peut il se faire, me direz-vous ? C'est très simple, le docteur es/roberts, aurait remarqué que les pleurs de bébés réclamant leur tétée, aurait un effet sur la lactation, laquelle lactation implique, cela va de soi, un gonflement XXL des attributs féminins...  D'où une sonnerie concoctée à base de pleurs de nourrissons à utiliser à volonté, et selon la taille de bonnet que l'on désire obtenir

Il paraîtrait que le procédé a fait ses preuves. En 10 jours les nippones utilisatrices assidues, auraient vu leur tour de poitrine prendre 3 cm... Pamela Anderson a du souci à se faire

J'ai demandé les coordonnées du Dr Tomabechi pour savoir si , au cas où, il aurait pas, parmi ses sonneries improbables, une sonnerie qui permettrait de vitaminer les neurones de nos politiques, histoire qu'au moins quelques uns, puissent avoir la lumière à tous les étages 

Dès que j'ai du nouveau, promis, on fait une réunion et on en recause






 

Depuis quelques années, le 08 mars c'est la Fête des Femmes... Je vois pas pourquoi ce jour-là précisemment, vu que depuis que le monde est monde, c'est la fête des femmes, 365 jours sur 365,  et les jours fériés, ça compterait presque double...

Comme je veux pas être encore accusée de faire du mauvais esprit, je vais tenter de rester dans le ton, et, pour une fois, d'adopter la positive attitude... C'est pas gagné, je promets rien. Bon, je me lance...

BONNE FÊTE A MES SOEURS

Battues, violées, trahies,
par des sa*****, pardon des maris, concubins, pacsés, copains

Jeunes et vieilles chômeuses,
jetées sur le pavé parce qu'enceinte ou ridée et pas liftée

Mères dites "isolées"
qui bossent 36 heures sur 24 pour des clopinettes
et avec ça,  tentent de remplir l'assiette de leur couvée

Mères dites "au foyer"
dévouées à leur famille, et que la société ingrate,
range dans la case socio-truc des "sans activité" ou des "inactifs"

Femmes de par le vaste monde
privées de soins, d'éducation, d'instruction, mutilées sexuellement

Péripapéticiennes
d'ici et d'ailleurs, enlevées, exploitées, martyrisées,

Les blondes, les brunes, les rousses,
les jolies, les pas jolies, les maigres, les grosses,
les filles, les mères, les grands-mères,
femmes en devenir,
femmes à l'automne de leur vie,

Femmes de toutes les couleurs
Qui luttent ici ou ailleurs,
Avec au fond du coeur,
L'espoir d'un monde meilleur !













Puisqu'il paraît que demain c'est notre fête,

Alors, Vive Nous !!!



Champagne pour toutes !

"La vie de Bolek est un roman dont il est le héros. Après mille métiers (mineur, ouvrier, fort des Halles) et quarante ans de galères, Bolek arrive dans le Xe arrondissement en 1983 pour vendre des journaux. C’est l’âge d’or de la presse : il trouve enfin sa place et c’est la belle vie. Mais en 1994, les modalités de paiement changent et les NMPP cessent de l’approvisionner. Il devient alors représentatif de la crise vécue par bon nombre de kiosquiers. A 55 ans, sa vie bascule, il se marginalise peu à peu. Refusant de quitter son kiosque, il s’improvise « libraire de rue ». Avec ses livres d’occasion, sans aucune aide sociale, il survit pendant douze ans dans la plus grande précarité, bravant le froid, le mépris, la peur et la violence omniprésente de la rue. L’année dernière, la Mairie de Paris le somme de rendre les clefs de l’édicule. C’était sans compter sur la mobilisation des habitants du quartier. Une formidable chaîne citoyenne de solidarité se soude autour de lui : personne ne veut laisser partir celui qui a su tisser le lien social par le biais des livres qu’il échange contre un peu d’humanité. Les médias s’emparent de son cas : il passe au journal télévisé de France 3. Cet homme révolté, qui crie, charme et éructe, incarne à sa manière toutes les mutations de la ville qui s’asphyxie sous les coups de la modernité et de l’efficacité. Le Conseil de Paris finit par voter une convention l’autorisant à rester dans son kiosque. Sorte de reconnaissance sociale pour cet homme dont le combat redonne un sens à la trop galvaudée « démocratie participative ». Aujourd’hui, Bolek est logé, il a organisé une exposition de peinture qui a réuni plus de deux cents personnes. A soixante-huit ans, il s’autorise enfin un futur. L’Auteur : Bolek est libraire de rue à Paris. Laurent Boscq, journaliste, a collaboré à « Nova Magazine, Technikart », « VSD » et « Transfuge ». Il est l’auteur de deux polars publiés aux Editions Fleuve Noir et a scénarisé des longs métrages."

Malheureusement, malgré toutes mes recherches, je n'ai rien trouvé sur le net de ses toiles vue au journal télévisé sur FR3... On en aperçoit une, au fond, sur cette photo... J'aime beaucoup, ça tient du fauvisme pour certaines...Faut aimer la vie pour écrire, et surtout, pour peindre comme ça... Il y a des jours où j'envie vraiment les parisiens qui ont accès à tant et tant d'expos...

Demain, je vous montrerai mes achats pour Pâques : un bon point pour CASA, toujours au top... et quelques achats pour la mariage de Louloute...

Et dernier week-end de calme avant la tempête des grands travaux qui commencent lundi prochain, si tout va bien !

Et je vous raconterai aussi, comment j'ai été bien sage pour me faire vacciner que j'avais très peur et que j'ai été trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèès courageuse

La lutte c'est la vie... C'est bête comme chou... Mais je l'ai bien aimé moi, ce si digne papi, ancien catcheur, qui une fois par semaine, joue de l'orgue de barbarie dans les restos de Paris, pour mettre du beurre dans les épinards familiaux... Une vie banale... Une vie de lutte, un p'tit pavillon de province qui fatigue, de l'amour plein les yeux quand il parle à sa femme, elle qui fait la coquette et cache sa béquille pour "ne pas faire trop vieille", une fille cadette handicapée, "leur gentil p'tit boulet en or", une fille aînée aimante et deux petits enfants de 18 et 13 ans infiniment raisonnables et gentils... Un réveillon de Noël, un petit sapin, quelques chocolats en cadeau, un billet pour chaque petit-enfant, un bouquet de fleurs pour sa femme... Un toit qui prend l'eau... des frais... et une épouse inquiète "si je pars avant toi, les papiers sont ici..." et lui, qui lui répond : "ha non, cette année c'était obsèques ou toiture... on a choisi toiture, faut attendre pour mourir !"

Et luxe familial, les vacances en famille dans un mobil home, acheté du temps de sa splendeur, et placé dans un joli coin de Bretagne...

Et le grand-père qui nage avec son petit fils... Et qui lui dit, "vois-tu, c'est ça le bonheur, c'est juste ça..."

Et qui conclut "J'ai toujours lutté dans ma vie, au propre comme au figuré, j'ai toujours lutté pour être ce que je suis..."

Si c'était pas pour ne pas l'embêter, je proposerais bien son nom à "ceusses d'en haut" comme consultant en "bon sens"... Mais j'ai peur que ça le fatigue d'expliquer des choses simples à de parfaits imbéciles...

Il a raison : "la vie c'est la lutte... La lutte c'est la vie..."

... Première polémique de l'année dans le Landerneau parisien : Rachida et son congé express de maternité ! D'un côté, on s'esbaudit... De l'autre, on crie à l'attentat contre les congés mat' en général et en particulier... Perso, je suis épatée... Et je sais de quoi je cause : 3 césariennes, et celle de Louloute me laissa à l'hosto.... 3 semaines, même que j'ai mis quelques mois à retrouver une forme à peu près acceptable... Mais c'était ya 26 ans. Pourtant je me dis qu'une césarienne reste une césarienne, avec tout ce que ça comporte d'effets secondaires...

D'où la stupéfaction générale (... et la jalousie féminine, si, si, la jalousie, ne dîtes pas non !) à la vue d'une Rachida radieuse, brushée, maquillée, manucurée, fringuée, juchée sur des talons vertigineux, à sa sortie de la maternité, et ce, à peine 5 jours après une césarienne... Une allure aussi glamour après un accouchement, faut reconnaître que ça court pas les rues... En plus, si l'on ajoute à l'allure glamour, une forme olympique qui lui permet de courir illico-presto au cocktail de Nico (c'est pas possible, l'a eu des perfs de Red Bul...) Si elle était pas sortie de la maternité, avec sa crevette à couettes dans les bras, on aurait pu croire qu'elle sortait de chez son coiffeur !

Passés les premiers étonnements et ravissements sur l'allure de la maman, les premières interrogations fusent :

- Qui qui donne le bib au lait de caviar (si, si, ça existe...) à la crevette à couettes pendant que maman fait la belle sous les ors de la république ??? 

- Qui qui chante les berceuses de Carla à la crevette à couettes pendant que maman fait les beaux jours de la place Vendôme ???

- Qui qui change la couche Dior de la crevette à couettes pendant que maman voyage de par notre bel hexagone ???

... et les critiques pointent :

- Comment que ça se fait que la maman de la crevette à couettes elle a pas pris ses 16 semaines de congés mat' comme toute mère citoyenne lambda ???

- Elle se rend compte la maman de la crevette à couettes qu'elle met en danger l'équilibre et la sérénité des familles ???

- Elle a pensé, la maman de la crevette à couettes, à ses soeurs de galère,  mères-travailleuses-chômeuses-au foyer (ne rien rayer...) qui travaillent ou pointent pour des clopinettes, qui assument X gniards, qui cavalent après le temps sans aucun espoir de le rattraper et qui voient arriver la fin de leur congé mat' comme la fin des vacances et la reprise du taf comme le retour aux galères, à ces forçats des arts dits ménagers qui jouent tous les jours et toutes les nuits que Dieu fait, la trilogie : bébé-boulot-pas dodo ???

... et qui ont failli s'étrangler devant leur télé en la voyant, elle, la maman de la crevette à couettes sublissime d'élégance, reprendre, l'air de rien, "ses activités" après avoir rangé la crevette à couettes dans son berceau Vuiton & Hermes et confié le tout à Super-Super-Super-Nanny... Aussi,

Madame la Ministre, je vous le demande ici, solennellement, par solidarité avec toutes les futures parturientes et mères de France et de Navarre, prenez je vous en conjure, vos 16 semaines de congés mat' et ne mettez plus la France à feu et à sang pour aussi peu de choses... Motivez vous en vous disant que vous habitez un super chouette quartier où il doit faire bon promener et qu'il n'est pas trop tôt pour éduquer les goûts de la crevette à couettes... En effet, qui, mieux que vous, pourrait apprendre à la crevette à couettes à différencier  la Haute Layette de la Layette Prête à Porter ?  A reconnaître du premiet coup d'oeil un hochet de chez Mellerio et à savourer pleinement un biberon en cristal de chez Fauchon ? Qui mieux qu'une mère de crevette à couettes peut se charger d'une telle responsabilité ??? Il en va de l'avenir de la crevette à couettes : une mauvaise rencontre  Parc Monceau ou Place des Vosges est si vite arrivée...

Croyez-moi, Madame la Ministre, on rigole pas avec ça... PRENEZ VOS CONGES MAT' ou alors confiez la crevette à couettes à son pôpa, ça fera plaisir aux militants des droits des pères ;)